01 août 2006
Et de trois!
Plus que trois!
On est à mi-chemin de cette bataille-là! Yeah! Yeah! Yeah!
15:31 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Vaincre la maladie
31 juillet 2006
Demandez le programme!
Samedi 29 : jardinage et courses. La grosse branche de mûrier, sur laquelle tout le monde s'assommait régulièrement depuis six mois (et nous encore pas plus tard qu'il y a deux jours, on fait une conso d'arnica dans cette maison...), la grosse branche n'est plus! Ca devait être des nains qui habitaient ici avant... Du coup on a dû retailler tout le mûrier pour lui éviter un cruel déséquilibre, ça occupe!
Dimanche 30: jardinage... intensif. Elle s'est mis dans la tête de tailler une partie de la haie en plein soleil, je râle un peu à cause de son bras droit, je me fais rembarrer par un "ça me fait plaisir" autoritaire! Du coup je déterre l'affreux buisson qui est devant la fenêtre de mon bureau et je transplante un laurier rose à la place! Na! Juste un détail: à huit heures du soir je suis encore en train de remplir des sacs avec les branches de thuya qu'elle a coupées... Mais pourquoi donc ont-ils annoncé de l'orage aujourd'hui? C'est pas vrai, pas une goutte! Pourquoi j'suis pas partie au bord de l'eau, moi, hein?
Lundi 31: Mary L a fait du ménage toute la journée à l'étage des fauves enfants - y en a qui vont se faire engueuler bientôt je vous dis que ça, zétaient censés avoir tout fait, tout rangé avant leur départ! - pendant ce temps-là j'ai bossé, sauf quand on a fait les dernières courses au supermarché. A l'instant même où je publie ce post, elle est en train de nettoyer les chiottes ouatères (comme disait Queneau), je voulais le faire, car il est tout de même plus de 22h30, l'a pas voulu, l'a voulu faire toute seule, l'a dit "ça me fait plaisir"! Quelle forme éblouissante depuis plus de dix jours! Moi je savais pas que l'effet de la cortisone durait aussi longtemps...
Mardi 1er: réveil à 6h, hosto à 8h pour troisième cure de chimio, retour potentiel en début d'après-midi.
Mercredi 2 août: c'est son anniversaire! Z'entendez? C'EST SON ANNIVERSAIRE! Sûr qu'on va pas s'empiffrer de gâteau à la crème, beurk, on fera ce qu'on pourra et on se rattrapera plus tard. Je suis bien tranquille pour mon cadeau qui devrait lui faire grand plaisir - ça ne se mange pas - et elle en rêve depuis un an et demi!
Jeudi 3: retour des enfants by plane. Heure théorique, milieu de matinée. Seront cassés par le décalage horaire comme d'habitude. Comme ça je vais avoir trois marmottes à la maison!
Voilà, vous savez tout ou presque. Je vais aller nourrir les hamsters des voisins (le premier qui me dit "t'es bonne poire", je lui... vous savez la suite, hein.... ). Après je sais pô, j'espère qu'on va pas se mettre à faire les vitres!
23:00 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Vaincre la maladie
30 juillet 2006
Gemme!
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.9 )
Le temps est le meilleur bâtisseur de l'amitié. Il est aussi son témoin et sa conscience. Les chemins se séparent, puis se croisent.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.26 )
Quand une amitié est bafouée, rien ne peut la reconstituer. Tandis que les blessures d'amour - du désir, de la sexualité - peuvent se cicatriser, celles de l'amitié sont éternelles, définitives.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.52 )
Je considère qu'un ami est celui qui ne ment pas, ne fait pas semblant et parle avec toute la sincérité, la franchise que l'amitié véritable requiert. C'est ce que j'appelle l'exigence amicale : dire ce qu'on pense sans, bien sûr, être blessant.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.56 )
L'ami est-il celui qu'on peut déranger ? Oui, surtout s'il peut être utile.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.82 )
L'amitié ne rend pas le malheur plus léger, mais en se faisant présence et dévouement, elle permet d'en partager le poids, et ouvre les portes de l'apaisement.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.84 )
[...] l'amour n'atteint la maturité et la sérénité qu'aidé par l'amitié. Il y faut du temps, de la générosité et de la lucidité.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.96 )
Le destin est ce qui nous arrive au moment où on ne s'y attend pas.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.114 )
Être exigeant est une règle de base. Être tolérant est un principe. Veiller sur l'état de l'amitié est un devoir. Penser à l'autre, savoir être présent quand il le faut, avoir les mots et les gestes qu'il faut, faire preuve de constance dans la fidélité, c'est cela l'amitié, et c'est rare.
(Éloge de l'amitié , Éd. Arléa, p.123 )
L'amitié qui se lit sur les visages et dans les gestes devient comme une prairie dessinée par un rêve dans une longue nuit de solitude.
(Éloge de l'amitié, Éd. Arléa, p.124 )
16:05 Publié dans Littérature | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature
27 juillet 2006
Merveilleux Robert
Vous me dites enfin que je suis fatigué :
Oui, je suis fatigué Monsieur, mais je m'en flatte
J'ai tout de fatigué, le coeur, la voix, la rate
Je m'endors épuisé, je me réveille las
Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m'en soucie pas.
Et quand je m'en soucie je me ridiculise
La fatigue souvent n'est que vantardise
On n'est jamais aussi fatigué que l'on croit.
Lorsqu'on fait de soi son unique horizon
Lorsqu'on n'a rien à perdre, à vaincre ou à défendre
Cette fatigue-là est mauvaise à entendre.
Savoir qu'on est l'outil, qu'on est le lendemain
Savoir qu'on est la clef, savoir qu'on est la source
C'est le prix d'une journée d'efforts et de lutte
C'est le prix d'un travail et d'une journée remplie
Et c'est la preuve aussi qu'on vit avec la vie.
Quand je rentre la nuit et que ma maison dort
J'écoute les sommeils et là je me sens fort
Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance
Et ma fatigue alors c'est une récompense
Et vous me conseillez d'aller me reposer ?
Mais si j'acceptais là ce que vous me proposez
Si je m'abandonnais à votre douce intrigue
Mais je mourrais, Monsieur, tristement, de fatigue!
15:30 Publié dans Aimer | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Vaincre la maladie
25 juillet 2006
Médicalement prouvé ... et irrésistible!
Un patient gravement malade est à l'hôpital. La famille est réunie dans la salle d'attente.
Un médecin entre, fatigué et dit :
" Désolé, je vous apporte de mauvaises nouvelles. L'unique chance de survie est une greffe de cerveau. C'est une opération expérimentale, très risquée et dont les frais seront totalement à votre charge. "
La famille reste abasourdie.
Un des membres demande : " Combien coûte un cerveau ? "
" Ça dépend, répond le médecin, 5000 Euros pour un cerveau d'homme, 200 Euros un cerveau de femme ".
Alors un long moment de silence s'installe. Les hommes de la famille se retiennent de rire et évitent de regarder les femmes.
Un curieux ose quand même poser la question : " Docteur, pourquoi une telle différence de prix ? "
Le docteur sourit face à une telle question, puis répond : "Les cerveaux de femme coûtent moins chers, car ils sont d'occasion: ce sont les seuls à avoir été utilisés "
Splendide journée à toutes et à tous!
23:25 Publié dans Frivolidad | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Faut rigoler!
24 juillet 2006
Jours de grâce
02:00 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Vaincre la maladie
19 juillet 2006
Drame hétéro
Hier après-midi. Rendez-vous chez le médecin, un problème de kystes aux seins qui me gave (et là c'est pas de la pêche à la truite!) depuis l'automne dernier, t'imagine pas comme les seins c'est un truc qui nous occupe bien depuis quelque temps, on ne s'en lasse pas.
Donc nous voilà toutes les deux dans la salle d'attente, chaleur à crever - 37° à l'ombre - , donc tête nue, celle de MaryL VRAIMENT nue bien sûr, et moi exhibant ma brosse très très courte! Comme on étouffe, nous avons mis des shorts et des chemises amples, et comme on est plutôt très grandes, ce sont des chemises de mec. Mais bon, l'une à rayures roses et l'autre dans des tons vert vif et blanc, pas masculines pour deux sous; d'ailleurs les mecs dans les magasins, ils en voulaient pas (ouais, euh, on va pas porter des chemises de PD, etc, etc....), ce qui fait qu'on les a eues en soldes pour pas cher, gnark, gnark!
Première dame entre. Stricte, à peu près mon âge, mais elle fait facile dix ans de plus, elle (et toc!). Coup d'oeil circulaire rapide, yaknous, " bonjour messieurs" qu'elle fait cette c**** ! Ton laconique et haineux pour répondre, à peine si on lève le nez de nos journaux: "Bonjour". Première dame s'assied, nous regarde un peu mieux, comprend sa méprise. Elle devient verte, mais pas vif comme ma chemise, plutôt hépatique le vert. Son regard court de l'une à l'autre, s'arrête sur le crâne nu de ma compagne, revient au mien si faiblement garni, ça y est elle comprend ou plutôt croit comprendre: nous avons le truc là, la chose maudite, l'infâme maladie, horreur! Craint-elle la contagion ou que nous crevions sous ses yeux ébahis? Se sent-elle si affreusement coupable de sa terrible bévue? Quoi qu'il en soit, elle devient blanche comme un linge et n'ose plus lever les yeux vers nous. Elle plonge dans une revue subtilisée rapidement sur la table entre elle et nous, sans lever le nez.
Deuxième dame entre. Oui on attend assez longtemps chez notre médecin... Pimpante, petite robe à fleurs, le torse fier et l'oeil séducteur, genre veuve ou divorcée en quête de mâle. Et puis ça doit urger parce qu'elle elle est plus âgée que moi - elle fait son âge, y a pas de doute (regnark!) - et a l'air sacrément en manque! Coup d'oeil circulaire, ton mielleux: "Bonjour messieurs" et elle ignore copieusement Première Dame, qui se ratatatine un peu plus sur son siège.
En choeur et d'une voix mauvaise, tous crocs dehors comme deux pitbulls sur le point de mordre, nous répondons "b'jour". Ma brune en profite pour ajouter dans ma direction "T'as vu?" en brandissant le torchon à cancans qu'elle est en train de lire en rigolant depuis 20 minutes. Et elle déplace sa chaise pour venir plaquer sa cuisse à moitié nue contre la mienne, elle saisit ma main d'un geste super sensuel pour la poser sur la photo qu'elle veut me montrer et me regarde frémissante et amoureuse, mmmm ce regard!
Première Dame se tasse un peu plus, on lit ses pensées sur son visage - oh non pas ça, c'est trop, c'est peut'êt' pas le cancer finalement, c'est des goudous quelle horreur!, mais r'garde-moi c'tte touche,..., pourquoi moi? - et Deuxième Dame, qui elle ne voit décidément rien, continue de nous mater, sourire allumeur aux lèvres et poitrine agressive. Doit être sans lunettes par coquetterie celle-là!
Dr Homéo est venue nous chercher, heureusement, sinon je crois bien que j'aurais explosé de rire.
Ah ces zétérotes en manque, seraient prêtes à tout on dirait ! Les pôôôôvres!
18:50 Publié dans Etre gay ou lesbienne en 2008, Frivolidad | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Faut rigoler!
17 juillet 2006
Brève de nuit
Les nouvelles? Comme dit notre amie Antonia, "dormir c'est guérir". Et bien, je vis avec une marmotte et je n'ai pas trop forcé non plus ce week-end! Lit, bouffe; bouffe, lit. Télé un peu. Joint de carrelage SDB hier matin. Si, si, j'ai eu ce courage, quatre jours de boulot! Ben oui quoi, deux jours pour aller acheter le ciment-colle, puis un jour de prépa psycho avant l'effort, puis exécution des travaux le dernier jour.
Le truc à la con? Soit-disant que tous les cheveux se tirent? Et bien c'est pas vrai: il en reste, des irréductibles gaulois sans doute, et qu'il faut raser tous les trois jours pour ne pas avoir l'air d'un mec pas frais! C'est nul! Tu te disais qu'au moins pendant tout ce temps, pas besoin de couper les cheveux, économie de gel, repos quoi! Et ben non! Pas du tout! Une super contrainte oui! On se doute bien qu'il va en partir encore avec la deuxième couche de chimio, mais avec notre veine, ils vont mettre des semaines à se débiner ceux-là, qui sait... jusqu'à la repousse. Râlant, non?
J'ai surtout pris le temps de la photographier abondamment avec l'appareil numérique tout neuf de la maison pour conserver les plus beaux clichés et pour qu'elle voie comme elle est magnifique. J'ai compris qu'elle se trouve belle, mais qu'elle a du mal à accepter ce changement, ce truc imposé malgré soi. Ne plus (re)connaître son image dans le miroir, car non conforme à l'image qu'on veut donner de soi... Que de changements! Et il y a cette fatigue immense qui la rend incapable de faire grand chose: outre la modification physique, cela lui pèse par moments beaucoup. En plus il fait une chaleur pas possible! Du coup, j'ai opté moi-même pour le 3 mm révolutionnaire partout sauf 1à2 mm nuque et pattes, avec la bénédiction de ma brune (si, elle est brune! tu veux un certif?). Pas tout rasé parce que je bosse, quoique je ne sais pas s'ils vont tellement voir la différence les clients, pff fait chaud, faudra bien qu'ils s'y fassent! C'est tout doux, elle aime. Et puis finalement, cela fait rentrer de la fantaisie dans la maison et la fantaisie c'est bon. On mange à l'heure qu'on veut, on se légume dans le jardin ou devant la télé, je lambine pendant qu'elle somnole... Que ça ait l'air de vacances tout de même, non mais!
N'empêche que ce protocole, ça va être long et chiant pénible, mais pas le choix de faire autrement. Alors on va imaginer des globules blancs super musclés et armés du dernier pistolet mitrailleur à la mode, d'un fusil à lunette et d'un lance-roquettes d'énormes macrophages qui referment leurs pseudopodes sur des cellules malignes isolées et sans défense: ils les mettent en pièce avant de les digérer goulûment!
Comment ça je joue trop à des jeux vidéo? Qui vous l'a dit, mmmmhhh?
02:25 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Vaincre la maladie
14 juillet 2006
Révolutionnaire dans l'âme!
01:15 Publié dans Vie de famille ... homoparentale | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : anniv
13 juillet 2006
Quand ma marmotte se ranime!
Ma chef, euh je veux dire ma belle, a décidé de profiter de "ses grandes vacances" (je la cite!) pour qu'on termine les rangements qui restent à la maison, qu'on fasse les travaux en suspens, qu'on taille la haie et les arbres et j'en passe! Qui a dit qu'elle était diminuée?
Question à dix balles: qui peut porter des poids sans problèmes, mmmhhhh? Je sens que pour moi ça va être le *ClubMed avec options "bricolage, jardinage et soins infirmiers"! Tsss la chimio, ça ne coupe pas toutes les envies de vivre ;°)
Heureusement j'aurai aussi le droit d'aller à la pêche! Ouf!
Chez nous, en vrai, il n'y a pas de chef: il y a "on" et "quelqu'un".
La pêche, je n'y ai pas mis un orteil depuis août 2005 et comme la faïence de la salle de bains trouve très amusant de se décoller depuis la veille de la chimio, je pressens que "quelqu'un" ne va pas tarder à demander si "on" veut bien aller à "Kastoh Yatouskifoh" pour acheter du ciment-colle pour arranger ça!
Je sens que les truites ont la belle vie pendant ce temps-là....
Soupir...
Il est beau mon gave, hein?
07:25 Publié dans Lame de fond, Vie de famille ... homoparentale | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Vaincre la maladie
11 juillet 2006
23h15
A l'hôpital, c'était un peu la cohue aujourd'hui, ils avaient oublié la cortisone, heureusement qu'on s'en est rendu compte avant le début du passage des produits du FEC 100! Mais ils font de leur mieux, il faut savoir que des cancers, il y en a tant que les services onco sont toujours pleins à craquer!
23:15 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Vaincre la maladie
Et de deux! Yeah!
Pour l'instant tout va bien.
On croise les doigts...
We will survive
As long as we know how to love
We know we will stay alive
We've got all our life to live
We've got all our love to give
And we'll survive
We will survive
20:05 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Vaincre la maladie
10 juillet 2006
Deuxième round!
On remet ça demain...
D'où un peu d'appréhension ce soir...
Peur du cumul de fatigue et d'être diminuée au point de ne plus rien pouvoir faire surtout.
Mais on va bien dîner et ça va remettre les idées en place, je crois qu'on a faim aussi!
21:50 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Vaincre la maladie
Tête nue et fière!
Elle utilise ses chapeaux, casquettes, bobs, etc... plutôt pour se protéger du soleil qu'autre chose et a décidé de se ballader tête nue dans les magasins, dans la rue, devant nos voisins, au restau où nous sommes allées hier midi avec son frère, sa belle-soeur et nos enfants, et j'en passe. Moralité: aucun regard malveillant. Quant à moi j'ai maxi 6 mm de cheveux sur la tête et mini 1 ou deux mm, par solidarité c'est vrai et puis c'est chouette en été, c'est épatant je ne me coiffe plus! Possible qu'on attire les regards, bof, nos amis nous ont trouvées super jeunes avec nos nouveaux looks et l'air en pleine forme malgré maladie et fatigue! Je ne sais si notre couple se fait remarquer ou non (en plus nous sommes grandes! Alors on dépasse des autres têtes! Hihihi!), ce que je sais c'est que les choses dépendent en grande partie du regard que nous posons sur nous-mêmes! Il est vrai que nous, nous avons l'habitude d'interpeller les autres...
Et puis porter une perruque en été, il faut être un peu maso, non?
Mesdames qui vivez à la mode chimio, vous risquez quoi finalement avec le No-perruque Pride, mmmmmhh?
16:00 Publié dans Lame de fond | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Vaincre la maladie