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17 mars 2007

Brèves de nous

Beaucoup de boulot (tant mieux côté porte-monnaie! tant pis pour le blog, forcément j'ai moins de temps à vous consacrer en ce moment), plus un stage pro, plus deux enfants, plus un deuxième boulot en expansion, plus une assoc à gérer avec de moins en moins de bénévoles, plus un mémoire à écrire pour finir un diplôme qui m'attend depuis deux ans...

Par moments je suis fatiguée...

MAIS ma belle va bien! Ca, ça n'a pas de prix! Elle convalesce au mieux, nous tâchons de vivre le plus sainement possible et profitons d'être ensemble tout en faisant des projets pour chasser définitivement les nuages de 2006 de notre ciel!

Week-end enfants et dîner amical en vue... 

Le menu? Et bien tout ce qu'il y a de plus traditionnel:

Apéritif 
Magret de canard rôti aux pommes, pommes de terre 'bonne femme'
Salade verte aux pignons et fromage de pays (brebis, chèvre)
Salade de fruits de saison
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Vous salivez? Oh j'ai bien peur de n'avoir pas prévu assez! Je crois bien qu'on va manger tout ça sans vous!
 
Allez on boira un verre à votre santé! 

15 mars 2007

Info

 
 

16 - 21 mars 2007

Cinéma l'Entrepôt, Paris
 

Téléchargez le programme complet

(2,7 mo)

Contact
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Le Festival de cinéma Queer est un temps fort de réflexion sur les identités.


Héritier du féminisme, et des cultures gays, lesbiennes et trans, la théorie et le mouvement politique Queer déconstruisent les genres et les sexualités.

08 mars 2007

Journées auprès de LA femme

Une femme une seule! Deux coeurs! Deux!

Jour après jour!

ELLE veille à

me plaire, m'attirer,

m'intéresser, me passionner,

me captiver, me charmer,

m'inquiéter, m'attendrir,

m'émerveiller, m'emballer,

me cajoler, m'émoustiller,

me comprendre, me soutenir,

me choyer, me soigner,

me masser, m'encourager,

m'amuser, me faire rire, 

m'émouvoir, m'éblouir!

ELLE sait m'accompagner avec amour! 

Et PAS qu'un seul jour par an! Non c'est tous les jours!

J'ai beaucoup de chance ! 

Je compte bien faire tout mon possible pour continuer à lui donner amour et bien-être et bonheur, veiller sur ELLE et LA comprendre.

Une seule journée pour la femme? Ridicule! Vous savez bien que pour aimer il faut des jours et des mois et des années à se découvrir et à s'apprivoiser.

Demain matin quand je me réveillerai commencera un nouveau jour auprès d'ELLE.

Journée de la femme (2)

Comme aux chiens galeux à qui on jette un os avec condescendance, on nous a refilé une journée dans l'année... je ferai juste remarquer un 'détail':

Et oui

23:50 Publié dans Colère | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : femmes, société

Journée de la femme (1)

Quelqu'un a atterri sur mon blog aujourd'hui avec la simple requête "goudou" sur Google! Durée de la visite: 38 secondes! Ca pour de la curiosité, c'est de la curiosité! Mais alors vite satisfaite...

Ejaculateur précoce? 

02 mars 2007

Humm!

Chaque minute, on déboise l'équivalent de 6 terrains de foot en Amazonie. C'est idiot, on n'aura jamais assez de joueurs!

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Il m'arrive de me parler à moi-même pour être certain que quelqu'un m'écoute.

 

Au fond... la vie est une sorte de machine à voyager dans le temps.

 

Avec le temps qui passe ceux qui étaient cons le restent et ceux qui ne l'étaient pas le deviennent.

 

Le 1er janvier 1945 à Hiroshima, les gens s'étaient souhaité une bonne et heureuse année.

 

Quitte à être réincarné, autant que ce soit en moi, comme ça mes vêtements pourront resservir.


Dieu a tout créé. Dieu a créé le racisme. Mais Dieu a aussi créé l'antiracisme. Avec tout le respect que je lui dois, Dieu est un sacré fouteur de merde.

Philippe Geluck

00:10 Publié dans Rire | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Faut rigoler!

01 mars 2007

Aujourd'hui mon blog a un an!

Un an de passé, un! Pas exactement comme je l'avais imaginé, ça c'est sûr! Mais une année passée à essayer d'informer... un peu, à vous découvrir ... un peu... sur Hautetfort, à vous raconter... un peu de nous, un peu de moi! Je suis heureuse de fêter ce moment en votre compagnie.

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Ce n'est pas vrai que la toile c'est virtuel uniquement: j'ai rencontré en chair et en osssse des personnes découvertes sur internet, j'ai causé avec d'autres au téléphone, de nouvelles rencontres sont prévues et le web est un vrai moyen de nouer des liens. Des infirmes ou des malades sortent de leur solitude, des êtres se croisent et se rencontrent, des solitaires se laissent apprivoiser, des grégaires s'agrègent, des coeurs se lient, n'en doutez pas.

Mais vous n'y trouverez que ce que vous y apportez. Désir d'établir une vraie relation n'est pas trompe-l'oeil ou l'oreille. N'empêche que la vie est pleine de surprises, y compris bonnes. Qu'on se le dise!

00:20 Publié dans Frivolidad | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Lesbienne

27 février 2007

Le blog du jour (VI)

C'est plein d'humour et bien écrit, alors j'aime. Et puis il y a les calanques, l'Esterel, le jardin et le soleil. En plus elles aiment aller à la pêche! Alors là je suis conquise.

Et puis aujourd'hui c'est son anniversaire! 

RV chez Liquidambar !

24 février 2007

Born to be alive

Il y a des jours où vous vous sentez comme le "chat moche"? 

 



Tss! Meuh nan, meuh nan! Allez on rit un bon coup et puis...
You know what?
 
You are born to be alive!

 

Life can be happy for us homos too!

 

Ps: même pas envie de réagir à toutes ces conneries billevesées vues et lues dans le monde politique pré-électoral en ce qui nous concerne, sauf en images! 

14 février 2007

Pas le temps de poster...

... alors résumons!

 

Ma douce +++

Sa fatigue - 

Son moral +++-++-+++

Sa convalescence +++ 

Mon boulot +++

Envie d'étriper quelques djeunzz ++

Envie d'en aider d'autres +++ 

Father of mine -----

Mother of mine --- 

Nos enfants -

Père des enfants --- + ---

Mes crocs qui poussent +++

Ma forme physique + -

Mon moral -- ++ - +++ 

Compte en banque -+ -  -+ -  -+ - (sur l'air de pinponpin)

Notre amour +++++

30 janvier 2007

Jade or!

Comme diraient les djeunnzz, celle-là elle est trop géniale! Too much!
 


 
J'adore! 

Pub!

 

 

Y a pas de doute, nous vivons dans un vrai monde de dupes! 

Vive le naturel! 

22:30 Publié dans Colère, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Société

28 janvier 2007

Gender trouble

Judith Butler : l’écume des genres

Popularisés depuis quelques années en France par différents chercheurs, les principes de la question de genre et du queer étaient pourtant orphelins de leur œuvre fondatrice,"Gender trouble", de Judith Butler (1990). Jamais traduit jusqu’alors, ce livre est désormais disponible en français (depuis 2005). Rencontre exclusive avec son auteur. Par Tim Madesclaire et Julien Picquart.

En 1990, Judith Butler, alors jeune philosophe inconnue, publie aux Etats-Unis "Gender trouble", un livre qui connaît immédiatement un fort retentissement non seulement dans les milieux féministes — dont elle propose une critique radicale — mais aussi pour ce qui émergeait comme la théorie "queer", à savoir une relecture des questions de genre — gay, lesbienne, transexuel — en rupture avec les discours militants des années 70 ou 80. Dans son introduction à la réédition de "Gender trouble" aux USA, Butler s’étonnait, non sans plaisir, de l’impact de son livre sur les réseaux militants, et se réjouissait qu’il ait pu servir de fondement à des actions politiques, au-delà de la théorie.

En France, "Gender trouble" est le livre dont tout le (petit) monde des chercheurs, intellectuels et militants a entendu parler, sur lequel des pages et des pages ont été écrites, qui a été commenté par un nombre impressionnant d’auteurs — en particulier les pourtant incompatibles Didier Eribon et Marie-Hélène Bourcier — mais qui n’avait, étrangement, jamais été traduit. Pourtant, les références auxquelles fait appel Judith Butler dans "Gender Trouble" sont pour une grande partie françaises. Elles constituent un corpus que François Cusset avait décrit dans un livre, "French".

Le texte est bien sûr ardu. Même pour le lecteur averti et peu paresseux qui, bien que connaissant bien Foucault, Kristeva, Lacan, Irigaray (il y en a !), risque de décrocher soudain en s’acharnant sur le "phallogocentrisme", l’envie lui prenant soudain d’aller explorer quelques parties étranges de son corps sexué. La solution pourrait être de mettre en place, à sa table de lecture, quelques dispositifs cruels pour se concentrer, comme une machine à fouet à la Jenny Holzer ou une stimulation électrique à chaque signe de décrochage. L’autre solution consiste à commencer par d’autres textes plus abordables de Butler, conférences, entretiens, qui reprennent largement les idées de la philosophe qui sait, quand il le faut, "traduire" sa pensée en des mots clairs et souvent touchants.

Le genre en questions

Interview exclusive de la philosophe américaine Judith Butler, professeur à Berkeley.
 
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Comment vous est venue l’idée que questionner le genre pouvait aussi concerner d’autres sujets qui étaient bien au-delà du masculin et du féminin ?

Dans les années 80, je crois, j’avais l’habitude d’aller dans des bars et j’ai pu y voir un certain nombre de "drag shows". Je me souviens avoir pensé que certains des "hommes" qui se produisaient là "interprétaient" la féminité d’une façon qui m’aurait été impossible. Je participais également à des rencontres féministes à l’université où j’entendais parler des présupposés hétérosexuels et des désirs de maternité des "femmes". Je me suis alors rendue compte que je ne pouvais pas trouver de sens à ces deux mondes. Le problème semblait bien plus complexe, et dire que les femmes qui étaient "butch" ou sans enfants étaient "masculines" sans dire comment leur participation à cette pratique modifiait la masculinité ne suffisait pas. De même, les hommes qui "interprétaient" la féminité la changeaient aussi. Le genre m’est apparu comme une catégorie certes intrinsèquement complexe, mais également comme une catégorie constamment en train d’être produite.

Seriez vous d’accord pour comparer la stratégie du genre au judo, en particulier lorsqu’il s’agit de lutter contre les discours de haine ?

Je pense effectivement que l’on doit bouger avec et contre certaines normes sociales, afin de les détourner vers d’autres fonctions. Un peu comme le "umfunktionierung" dont parlait Brecht. Il pensait que l’on pouvait s’emparer des symboles de la vie bourgeoise et les réutiliser pour produire de nouvelles significations.

Vous utilisez souvent l’expression "une vie vivable". Qu’entendez-vous par là ?

Une vie qui permette d’éviter la rage suicidaire. Quand vous vivez dans une culture qui vous criminalise et vous pathologise en raison de votre sexualité ou d’une déviance de genre, la tentation de se faire disparaître est grande. Ma question est : à quoi ressembleraient des normes culturelles qui permettraient à celles et ceux considérés jusque-là comme incompréhensibles de s’épanouir un peu ?

Après toutes ces années de travail sur ces questions, quel bilan tireriez-vous de ce que l’on a appelé la "théorie queer" ?

Je pense que la théorie queer continue d’apporter une contribution importante, en ce qu’elle nous donne un moyen de comprendre les identifications complexes qui sont à l’œuvre dans la sexualité. Elle nous permet de problématiser le genre, de sorte qu’on ne le considère pas comme donné. Et elle nous commande de conceptualiser les relations entre la sexualité, le genre et le pouvoir selon des termes qui ne peuvent se réduirent à de simples revendications identitaires. Il faut également souligner que l’homosexualité structure l’hétérosexualité de façon que l’on commence juste à comprendre dans les domaines de l’art, de la littérature, de l’histoire et de la théorie.

Je comprends qu’il puisse y avoir quelques efforts pour institutionnaliser la théorie queer mais mon sentiment est qu’elle doit rester une critique de l’institutionnalisation même. Il ne faut pas oublier que ses origines se trouvent dans des mouvements sociaux tels que Queer nation ou Act Up. Et ceux-ci ont trouvé leur place et leur efficacité à travers une forme d’intervention théâtrale, situationnelle et non routinière. Selon moi, la théorie queer n’est pas une doctrine, elle doit intervenir d’une manière épisodique et stratégique. Son passé, son présent et son futur font partie d’un processus historique, dont la fin est ouverte.

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Judith Butler, "Trouble dans le genre. Pour un féminisme de la subversion", La Découverte, 23 euros.
   
 
Une œuvre fondatrice
Le sociologue Eric Fassin a préfacé la version française de "Gender trouble". Nous lui avons demandé en quoi ce livre a influencé son travail.

"Le travail de Judith Butler m’a été particulièrement utile sur trois points. En premier lieu, le livre pose dès 1990 la question sexuelle en termes d’articulation entre genre et sexualité. C’est que Judith Butler s’inscrit au point de rencontre entre les problématiques féministes, d’une part, et gaies et lesbiennes, d’autre part : elle prend le parti de tenir ensemble les deux logiques, sans jamais dissoudre les questions de sexualité dans celles de genre, mais aussi sans oublier le genre au profit de la sexualité. Dès le début des années 1990, c’était le point de tension qui se dessinait aux Etats-Unis (et, en creux, en France) : cette œuvre m’a aidé à m’y situer de manière plus précise, plus consciente, plus réfléchie.

En deuxième lieu, j’avais d’abord été intéressé par la possibilité qu’ouvrait l’ouvrage de formuler une politique minoritaire sans fondement identitaire, voire contre l’assignation identitaire : cette perspective critique me paraissait prometteuse, surtout dans le contexte français, en ce qu’elle permettait de dépasser l’alternative entre République et communautarisme. En troisième lieu, plus récemment, son travail m’a aidé à penser le statut des normes dans notre société, ou dans nos sociétés que j’appellerais "démocratiques". Il est vrai que Judith Butler se pose la question du sujet (de l’assujettissement et de la subjectivation) dans la société, comme un enjeu théorique, plutôt qu’historique ; mais elle n’en pense pas moins à partir d’aujourd’hui. Or l’incertitude normative permet de penser notre actualité — non pas un monde où il n’y aurait plus de normes, mais un monde où leur statut est moins assuré, où il y a du trouble dans l’emprise des normes — ce qui nous ouvre une marge de liberté".
 
On pourra également consulter avec profit les pages page 1
page 2
page 3
 

27 janvier 2007

A déguster...

...sans modération!

 

La célèbre animatrice radio états-unienne Laura Schlessinger (www.drlaura.com) fit remarquer que l'homosexualité est une perversion.

"C'est ce que dit la Bible dans le livre du Lévitique, chapitre 18, verset 22 :
"Tu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femme : ce serait une abomination".
C'est clair, non ? La Bible le dit. Un point c'est tout", affirma-t-elle.

Voici une lettre ouverte à Docteur Laura, écrite et diffusée sur Internet par un auditeur.

Chère Docteur Laura,


Merci de vous donner tant de mal pour éduquer les gens selon la loi de Dieu.
Votre émission m'a beaucoup appris, et j'essaie de partager ces connaissances avec le maximum de gens. Par exemple, quand quelqu'un essaie de défendre l'homosexualité, je lui rappelle que le Lévitique (18:22) dit clairement que c'est une abomination. Fin du débat.

Mais j'aurais besoin de conseils quant à d'autres lois bibliques :

  • Par exemple, j'aimerais vendre ma soeur comme esclave, comme l'Exode (21:7) m'y autorise. A notre époque et à ce jour, quel prix puis-je raisonnablement en demander ?

  • Le Lévitique aussi, chapitre 25, verset 44, enseigne que je peux posséder des esclaves, hommes ou femmes, à condition qu'ils soient achetés dans des nations voisines. Un ami affirme que ceci est applicable aux mexicains, mais pas aux canadiens. Pourriez-vous m'éclairer sur ce point ? Pourquoi est-ce que je ne peux pas posséder d'esclaves canadiens ?

  • Quand je brûle un taureau sur l'autel du sacrifice, je sais que l'odeur qui se dégage est apaisante pour le Seigneur (Lev.1:9). Le problème, c'est mes voisins : ils trouvent que cette odeur n'est pas apaisante pour eux. Dois-je les châtier en les frappant ?

  • Je sais que je ne suis autorisé à toucher aucune femme durant sa période menstruelle, comme l'ordonne le Lévitique, chapitre 18, verset 19. Comment puis-je savoir si elles le sont ou non ? J'ai essayé de le leur demander, mais de nombreuses femmes sont réservées ou se sentent offensées.

  • J'ai un voisin qui tient à travailler le samedi. L'Exode, chapitre 35, verset 2, dit clairement qu'il doit être condamné à mort. Je suis obligé de le tuer moi-même ? Pourriez-vous me soulager de cette question gênante d'une quelconque manière ?

  • Un de mes amis pense que même si c'est abominable de manger des fruits de mer (Lev1-10), l'homosexualité est encore plus abominable. Je ne suis pas d'accord. Pouvez-vous régler notre différend ?

  • Autre chose : le Lévitique, chapitre 21, verset 18, dit qu'on ne peut pas s'approcher de l'autel de Dieu si on a des problèmes de vue. J'ai besoin de lunettes pour lire. Mon acuité visuelle doit-elle être de 100% ? Serait-il possible de revoir cette exigence à la baisse ?

  • La plupart de mes amis de sexe masculin se font couper les cheveux, y compris autour des tempes, alors que c'est expressément interdit par le Lévitique (19:27). Comment doivent-ils mourir ?

  • Je sais (Lev. 11:6-8) que toucher la peau d'un cochon mort rend impur. Puis-je quand même jouer au foot (américain) si je porte des gants ?

  • Un dernier conseil. Mon oncle ne respecte pas ce que dit le Lévitique, chapitre 19, verset 19, en plantant deux types de culture différents dans le même champ, de même que sa femme qui porte des vêtements faits de différents tissus, coton et polyester. De plus, il passe ses journées à médire et à blasphémer. Est-il nécessaire d'aller jusqu'au bout de la procédure embarrassante de réunir tous les habitants du village pour lapider mon oncle et ma tante, comme le prescrit le Lévitique, chapitre 24, verset 10 à 16 (ou 20) ? On ne pourrait pas plutôt les brûler vifs au cours d'une réunion familiale privée, comme nous le faisons avec ceux d'entre-nous qui couchent avec des membres de leur belle-famille, tel qu'il est indiqué dans le livre sacré, chapitre 20, verset 14 ?


Je me confie pleinement à votre aide. Merci de nous rappeler que la parole de Dieu est éternelle et immuable. Un point c'est tout."