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15 mars 2007

Info

 
 

16 - 21 mars 2007

Cinéma l'Entrepôt, Paris
 

Téléchargez le programme complet

(2,7 mo)

Contact
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Le Festival de cinéma Queer est un temps fort de réflexion sur les identités.


Héritier du féminisme, et des cultures gays, lesbiennes et trans, la théorie et le mouvement politique Queer déconstruisent les genres et les sexualités.

08 mars 2007

Journées auprès de LA femme

Une femme une seule! Deux coeurs! Deux!

Jour après jour!

ELLE veille à

me plaire, m'attirer,

m'intéresser, me passionner,

me captiver, me charmer,

m'inquiéter, m'attendrir,

m'émerveiller, m'emballer,

me cajoler, m'émoustiller,

me comprendre, me soutenir,

me choyer, me soigner,

me masser, m'encourager,

m'amuser, me faire rire, 

m'émouvoir, m'éblouir!

ELLE sait m'accompagner avec amour! 

Et PAS qu'un seul jour par an! Non c'est tous les jours!

J'ai beaucoup de chance ! 

Je compte bien faire tout mon possible pour continuer à lui donner amour et bien-être et bonheur, veiller sur ELLE et LA comprendre.

Une seule journée pour la femme? Ridicule! Vous savez bien que pour aimer il faut des jours et des mois et des années à se découvrir et à s'apprivoiser.

Demain matin quand je me réveillerai commencera un nouveau jour auprès d'ELLE.

24 février 2007

Born to be alive

Il y a des jours où vous vous sentez comme le "chat moche"? 

 



Tss! Meuh nan, meuh nan! Allez on rit un bon coup et puis...
You know what?
 
You are born to be alive!

 

Life can be happy for us homos too!

 

Ps: même pas envie de réagir à toutes ces conneries billevesées vues et lues dans le monde politique pré-électoral en ce qui nous concerne, sauf en images! 

30 janvier 2007

Jade or!

Comme diraient les djeunnzz, celle-là elle est trop géniale! Too much!
 


 
J'adore! 

Pub!

 

 

Y a pas de doute, nous vivons dans un vrai monde de dupes! 

Vive le naturel! 

22:30 Publié dans Colère, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Société

22 janvier 2007

Gemme!

Gemme... beaucoup, mais alors vraiment BEAUCOUP!

 

Vu Chez Leznotte 

 

15 décembre 2006

A méditer

Si on pouvait réduire la population du monde en un village de 100 personnes, tout en maintenant les proportions de tous les peuples existants sur la terre, ce village serait ainsi composé:

57 asiatiques
21 européens
14 américains (Nord, Centre et Sud)
8 africains

Il y aurait:

52 femmes et 48 hommes
30 blancs et 70 non blancs
30 chrétiens et 70 non chrétiens
89 hétérosexuels et 11 homosexuels
6 personnes possèderaient 59 % de la richesse totale et tous les 6 seraient originaires des USA
80 vivraient dans des mauvaises maisons
70 seraient analphabètes
50 souffriraient de malnutrition
1 serait en train de mourir
1 serait en train de naître
1 posséderait un ordinateur
1 aurait un diplôme universitaire (oui, un seulement)

Si on considère le monde de cette manière, c'est tellement plus évident!

Prenons aussi ceci en considération:

Si tu t'es levé ce matin avec plus de santé que de maladie, tu es plus chanceux que le million de personnes qui ne verra pas la semaine prochaine.

Si tu n'as jamais été dans le danger d'une bataille, la solitude de l'emprisonnement, l'agonie de la torture, l'étau de la faim, tu es mieux que 500 millions de personnes.

Si tu peux aller à l'église sans peur d'être menacé, torturé ou tué, tu as une meilleure chance que 3 milliards de personnes.

Si tu as de la nourriture dans ton frigo, des habits sur toi, un toit sur ta tête et un endroit pour dormir, tu es plus riche que 75 % des habitants de la terre.

Si tu as de l'argent à la banque, dans ton portefeuille et de la monnaie dans une petite boite, tu fais partie des 8 % les plus privilégiés du monde.

Si tu lis ce message sur ton e-mail par exemple, tu as reçu une double bénédiction, parce que quelqu'un a pensé à toi et parce que tu ne fais pas partie des deux milliards de personnes qui ne savent pas lire.


Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.
Aime comme si personne ne t'avait jamais fait souffrir.
Danse comme si personne ne te regardait.
Chante comme si personne ne t'écoutait.
Vis comme si le paradis était sur terre.


Envoie ce message à tes amis. Si tu ne l'envoies pas il ne se passera rien du tout. Si tu l'envoies quelqu'un peut réfléchir après l'avoir lu...

06 novembre 2006

Quand on s'appelle "héritier"...

Françoise Héritier,

 

sur le mariage homosexuel
et les questions de parenté

 

Anthropologue, a été directeur d’études à l’EHESSS puis professeure honoraire au collège de France, où elle a enseigné l’étude comparée des sociétés Africaines de 1982 à 1998. Pour ses travaux sur le fonctionnement des systèmes semi complexes de parenté et d'alliance, Françoise Héritier s'est vue décerner en 1978 la médaille d'argent du CNRS au titre des Sciences humaines. Disciple de Claude Lévi-Strauss et auteur de "Masculin/Féminin", Françoise Héritier est aujourd’hui l’une des figures les plus importantes de sa discipline. Elle a également été présidente du Conseil national du sida et membre du Comité consultatif national d’éthique.

 

"Aujourd’hui, l’obstacle au mariage homosexuel n’est plus que de nature législative et concerne la représentation que s’en font les sociétés.
Les choses peuvent changer institutionnellement quand elles deviennent « pensables » par les populations. Grâce au PACS, les choses sont devenues « pensables ». Le PACS a entraîné l’égalité et la démocratie entre les sexes. Désormais, on admet les unions homosexuelles. Le mariage interviendra certainement bientôt. La pente qui fait augurer que cet événement arrivera découle du fait qu’il est devenu pensable. "

 

"Un modèle existe dans nos sociétés, mais il n’est pas définitif, et il est même en ce moment en train d’évoluer. L’observation de la différence sexuée n’est pas porteuse de hiérarchie. De nouveaux modes de pensée vont progressivement être mis au point, modes où il y aura toujours un modèle binaire de pensée mais qui ne sera pas nécessairement un modèle hiérarchique. Ce modèle ne sera pas porteur en lui même d’antinomie face au mariage homosexuel."

 

"Il serait plus sage et moins injuste de donner à tous les couples les mêmes droits en matière de parentalité, en explicitant les divers moyens autorisés pour avoir des enfants. S'agissant de l'engendrement, même si le droit français s'oriente de plus en plus vers une définition bilogique de la filiation, celle-ci est d'abord et avant tout l'expression d'une reconnaissance sociale. Et la parentalité , si elle n'est pas liée à la filiation biologiquement fondée l'est à la volonté, critère auquel il faudrait donner toute sa place. Nous ne devons pas avoir peur de l'innovation sociale, expression du génie humain. Ces reconfigurations plus généreuses que les anciennes sauront s'accommoder de nos problèmes de modèles parental et même de notre inconscient."

 

Pour en savoir plus:

http://sciencespo2005.free.fr/anthropologie/francoise_her...

et aussi:
 
et encore:

18 octobre 2006

Un peu de lecture...

...pour les jours de pluie.

 

Lu sur Wikipedia

Rappel de cuti

Une petite visite sur France 5?

"Ripostes"

 

Et nous alors, ce mariage...

on l'adopte quand? 

12 septembre 2006

Homophobie: un mort de plus!

Nous venons d'apprendre le décès de Dominic L., qui avait été agressé à coups de crosse de fusil, chez lui, la nuit du jeudi 6 au vendredi 7 juillet à Parentis-en-Born (Landes).

Cette nuit-là, un voisin avait pénétré par effraction dans le domicile de Dominic L., armé d'une carabine 22 LR. Réveillés par le bruit, le sexagénaire et son petit ami s'étaient retrouvés face au voisin. Les gendarmes, alertés par le petit ami qui avait réussi à prendre la fuite, avaient découvert le corps inanimé de Dominic L., la boîte crânienne défoncée. La victime avait été évacuée sur le CHU de Bordeaux.  L'agresseur, interpellé peu après l'agression, avait été déféré devant le parquet de Mont-de-Marsan, et mis en examen pour «tentative de meurtre à  raison de l'orientation sexuelle de la victime», placé sous mandat de dépôt et incarcéré à la maison d'arrêt de la ville. L'instruction  judiciaire est en cours.

L'association landaise G2L (Gays et lesbiennes des Landes) et SOS homophobie se sont rapprochées afin d'étudier une constitution de partie civile.

G2L et SOS homophobie dénoncent ce nouveau meurtre et présentent leurs condoléances à la famille et aux proches de la victime.

Toute personne pouvant apporter des informations sur la victime, désirant un soutien suite à ce meurtre ou souhaitant soutenir les associations dans  leur combat peut contacter G2L ou SOS homophobie.

Ce meurtre fait partie des nombreuses agressions physiques recensées pendant l'été par SOS homophobie et qui faisaient l'objet d'un précédent communiqué, disponible sur son site.

Contact:

SOS homophobie c/o CGL, 3 rue Keller, BP 255, 75524 Paris cedex 11 

www.sos-homophobie.org


Ligne d'écoute anonyme : 0810 108 135 ou 01 48 06 42 41

Secrétariat presse : 06.28.32.02.50

sos@sos-homophobie.org


G2L : 05 58 06 45 56

31 août 2006

Eux aussi, ils existent!

Le hasard des recherches Google m'a menée sur cette page, très émouvante:

http://wiltedflowerchild.com/trans/out/myriam-f.html 

Si vous êtes trans, c'est pour vous! Si vous ne l'êtes pas c'est pour vous aussi! 

09:10 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : transexualité

30 août 2006

La coparentalité, ça l'fait!

Si vous ne connaissez pas déjà cette petite merveille, n'hésitez pas à y faire un tour! 

Et un site sur la coparentalité, un!

12 avril 2006

Ado et homo (II)

L’adolescence est une période difficile par nature. L’homophobie et l’absence de traitement de la condition homosexuelle durant la scolarité sont des facteurs de risque accru de suicide chez l’adolescent gay...

Le suicide est la seconde cause de décès chez les jeunes de 15 à 24 ans et la première cause pour les 25 - 34 ans. De plus, et selon les études, le taux de suicide (et de tentative) chez les adolescents homosexuels ou bisexuels est entre 6 et 14 fois supérieure à celle de la population hétérosexuelle d’une même classe d’âge. Les raisons principales de ce douloureux constat sont diverses. D’une part, un contexte socio culturel discriminant, une imagerie péjorative de l’homosexualité, propos et actes homophobes. Autant de causes de mal-être et de souffrance des jeunes gays et lesbiennes. D’autre part, l’absence de traitement de la question homosexuelle durant la scolarité, l’hétérocentrisme, le défaut de visibilité d’une communauté adolescente gay et le déni même de son existence n’assurent pas un environnement propre à prévenir suicides, dépressions, comportements à risques, agressions et propos homophobes.


Il ne faut pas confondre homosexualité, pratique homosexuelle et désir homosexuel.

A l’adolescence la transformation pubertaire et la recherche identitaire brouillent les genres. De nombreux jeunes découvrent en même temps que leur corps celui de leurs congénères, la fameuse séance de douche post EPS, et leur sexualité. Les phénomènes de groupe et de " bande " conduisent dans ce contexte à des désirs homosexuels voire des pratiques homosexuelles sans pour autant que l’adolescent soit gay par nature.
Par définition l’adolescence est une période difficile. Elle se traduit par une recherche et une quête identitaire ou l’adulte en devenir cherche autant une identité propre, à s’affirmer individuellement, que désire s’inscrire dans la communauté et appartenir à un groupe, à s’identifier collectivement.
Dans ce schéma, le jeune gay ou la jeune lesbienne, subit cette période avec d’autant plus de difficulté que son homosexualité est une cause supplémentaire d’isolement et de sentiment de rejet. Les études nord américaines ont montré que le premier sentiment d’être Gay intervient souvent dès la pré adolescence et environ 6% des jeunes entre 15 et 18 ans se déclarent attirés par le même sexe à l’exclusion ou non d’une attirance pour le sexe opposé.


La condition de l’adolescent homosexuel reste l’un des derniers tabous de notre société au prix d’un taux de suicide fortement plus élevé, et a fortiori de tentative et de dépression, que celui de la communauté hétérosexuelle.

Ces même études ont démontré que ce fort taux n’est pas dû à l’homosexualité proprement dite de l’adolescent gay mais à l’environnement socio culturel de celui-ci qui le pousse à cette extrémité. En l’absence d’étude française, voire européenne, nous ne disposons pas de statistiques pour notre pays. Craignons qu’elles soient proches.

Nous pouvons faire le constat simple qu’une minorité de jeunes gays et lesbiennes s’assument, se revendiquent et vivent librement leur homosexualité au risque de faire l’objet d’un rejet de leurs camarades, de propos ou actes homophobes ou de se couper de leur milieu familial.
La grande majorité préfère se cacher et adopter une " stratégie de survie " dans un environnement qui ne les reconnaît pas. L’hétérocentrisme flagrant de la population en général, et de la population adolescente, en particulier, amène les jeunes gays à adopter les codes de genre de leurs camarades hétérosexuels qui tiennent des propos ou commettent même des agressions homophobes. De victime, certains préfèrent la condition de bourreau. A quel prix ? Celui de la négation de soi, d’une distorsion entre son identité propre et une identité exprimée, causes de mal être.
Pour les autres, ils sont l’objet de moqueries ou d’un rejet de leurs camarades sur de simples constations de différenciation (look, comportement dit "efféminé" pour les jeunes gays et de "garçon manqué" pour les jeunes lesbiennes), bien que pour beaucoup il ne s’agisse que de brimades sans incidences.
Les adolescents, pas plus que les adultes, ne mesurent les conséquences néfastes de telles attitudes sur des individus fragilisés ou marginalisés. Les jeunes hétérosexuels ne prennent pas la défense de leurs camarades faisant l’objet de telles brimades de peur d’être catalogués eux-mêmes Gays et de faire l’objet à leur tour d’une exclusion du groupe. Les intéressés, à défaut d’interlocuteurs à même de les écouter, n’osent pas se plaindre d’un tel traitement de peur de se dévoiler.


Ce tableau vous paraît bien noir ?
Pourtant, c’est celui auquel est confrontée quotidiennement et de manière solitaire la majorité des adolescents homosexuels et qui les conduit jusqu’au suicide. Néanmoins, des comportements prédéterminants et des signes permettent de détecter et de prévenir les troubles de l’adolescent gay : échec scolaire, forte consommation d’alcool ou de tabac, prise de drogues ou de médicaments, crises maniaco-dépressives. Mais n’est-ce pas déjà faire le constat de l’échec de notre société à assurer un traitement raisonné de l’homosexualité des adolescents comme fait social ?

Aussi, la cause de la souffrance des adolescents gays, soit l’environnement socio-culturel dans lequel ils évoluent, peut devenir l’élément même de leur épanouissement et de l’admission de leur homosexualité. Il est désormais temps que le système scolaire, lieu de vie et d’apprentissage de la jeunesse par excellence, ouvre les yeux. 80% de taux de réussite au Bac. A la bonne heure! Quand un pourcentage significatif de la population adolescente est en état de souffrance il importe d’avantage de les assister et les aider que d’en faire des bacheliers dépressifs ou suicidaires. N’est-ce pas le rôle même de l’enseignement laïc et républicain que de former des êtres autonomes et accomplis ? L’accès à la citoyenneté, voeu pieu de l’enseignement, et l’éducation de nos adultes en devenir pourraient s’enorgueillir d’un traitement de la condition homosexuelle propre à garantir nos libertés publiques et soucieux du respect des libertés individuelles de chacun.


A notre époque, l’homosexualité est le dernier sujet tabou à l’école.

L’éducation sexuelle n’est envisagée que sous l’angle reproductif, j’oserais dire technique ou de sa maîtrise, la contraception. Ou alors, la sexualité est abordée sous un angle négatif, celui des MST. De plus, et en l’absence d’un traitement médiatique, culturel, littéraire voire même musical de l’homosexualité durant l’adolescence, les jeunes gays et lesbiennes ne trouvent aucun élément commun d’identification nécessaire à leur sentiment d’appartenance à un groupe ou même propre à leur montrer qu’ils ne sont pas seuls, brisant ainsi le sentiment de solitude qui les animent. L’imagerie traditionnelle adolescente (feuilletons, émission real TV, BD, films d’action) ne montre souvent qu’une image unique et stéréotypée, celle d’une adolescence exclusivement hétérosexuelle, même virilisante et machiste.


Il appartient à l’éducation nationale d’entretenir une image réelle de l’homosexualité, non prosélyte, en traitant objectivement le fait homosexuel et en l’insérant dans les programmes (cours d’éducation aux sexualités, approche historique de la question gay, approche de l’homosexualité sous l’angle des libertés publiques au même titre que le racisme, la xénophobie) et en sanctionnant les propos et actes homophobes au sein des établissements.
L’éducation nationale devra, outre une formation et une sensibilisation de son personnel à ces questions, vaincre ses propres réticences quand on sait que beaucoup d’enseignants gays se cachent de peur de perdre leur crédibilité, et au-delà leur autorité, face aux élèves ou d’être invectivés par les parents d’élève ou l’administration.


L’assistance individuelle de l’adolescent homosexuel doit aussi être renforcée.

Quand celui-ci a peur de se confier à ses parents ou un camarade il doit pouvoir trouver un endroit propre à le sécuriser et à l’écouter. La prise en charge individuelle de la détresse d’un jeune gay est une priorité absolue mais le manque de moyen du personnel social au sein des établissements scolaire est criant. Psychologues scolaires, assistantes sociales, infirmières scolaires font défaut. Pourtant ils sont souvent les premiers témoins de confidences et les plus à même à détecter un malaise latent qui peut dégénérer en drame suicidaire.

Enfin, il est regrettable de constater qu’un écart s’opère entre la condition des jeunes gays et lesbiennes et celle de leurs aînés. Ces derniers ont su s’organiser, se réunir, se rassembler pour faire avancer leur condition alors que les plus jeunes d’entre eux voient encore leur existence niée et leur condition laissée à l’abandon. La société n’a t-elle pas pour devoir de reconnaître et de porter assistance à une partie de sa jeunesse ? A défaut c’est son avenir même qu’elle compromet.

Source: Homoedu