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27 avril 2006

Message personnel

Pour toi mon amour

Ma femme courageuse et déterminée qui est repartie vaillamment au travail entre deux séries d'examens, je t'aime.
Je suis là et je t'aime.

Et si le droit au mariage nous est donné, je te dirai oui, sans hésiter une seconde.

Comment ça copier les hétéros? Mais de quoi parlez-vous?
Dire devant tous les nôtres que nous nous aimons et que nous souhaitons partager notre vie et nous engager l'une envers l'autre pour la vie, c'est quoi le problème?
Avoir les mêmes droits que tout le monde parce que nous formons un couple depuis déjà un moment - et pour ça nous n'avons pas attendu votre autorisation - c'est quoi le problème?

Je m'engage à te chérir et à veiller sur toi et tes petits (total euphémisme!) aussi longtemps que mes forces me le permettront. Et comme dans ma famille les femmes ont la peau dure...


Je t'aime.

 

 

PS: j'ai décidé de fermer les commentaires de ce post après le passage de ma belle. Je pense que vous comprendrez.

 

Ne croyez pas que je vais me laisser abattre!

Tsss, on ne peut pas tourner le dos cinq minutes sans qu'il se passe bien des choses dans ce vaste monde.

Je découvre donc que les Belges ont donné le droit à l'adoption aux couples homosexuels, que de nombreuses violences homophobes ont défrayé la chronique ces derniers jours dans notre pays (merci au blog de Régis pour les infos regroupées), qu' "une sensibilisation à la lutte contre les discriminations liées à l'orientation sexuelle" est envisagée par l'Education Nationale - enfin! -, que ça bouge en Suède et en Italie, que les employeurs ne peuvent plus nous insulter comme bon leur semble (c'est la MOINDRE des choses!), qu'un candidat à la présidence de la République est favorable au mariage homo mais pas à l'adoption (en Belgique aussi c'était comme ça au début, puis ils ont évolué, EUX! La France serait donc à la traîne ? Quelqu'un a dit une fois de plus? Mmmh?), que l'holocauste homosexuel sort de l'ombre et se voit reconnu, etc...

Ca bouge, ça bouge, et comme toujours dans ces cas-là, certains en profitent pour lâcher leurs bas instincts, un dernier sursaut de vilaine bête, espérons-le! Leurs actes inadmissibles sont du même acabit que ceux des tortionnaires nazis, et plutôt que de nous juger et de nous maltraiter comme ils le font, ils feraient mieux de se regarder dans un miroir et de chasser cette noirceur qui encombre leur âme.

Nous, nous voulons vivre et aimer, c'est tout. Ca vous dérange?

24 avril 2006

100e note

Je vous l'avais bien dit: à quelque chose malheur est bon!

Ce week-end, mes beaux-parents sont venus chez nous!

Après des années de déni de notre vie, de refus de venir nous voir et de m'adresser la parole, ils ont passé une partie du week-end chez nous! Ils ont mangé à notre table, ont dormi dans notre maison et se sont comportés normalement à mon égard!

Quel changement! Avant, à les entendre dire (au téléphone, vive les écouteurs, avec on n'en rate pas une...), on aurait pu croire que j'avais dévoyé leur fille et qu'elle ne pouvait tout bonnement pas être CELA. Comme si je l'avais forcée à vivre avec moi et que sa vie n'était qu'obligation à mon égard, alors que franchement je n'ai pas eu à la pousser (aujourd'hui encore, elle vient dans mes bras très très spontanément !). Elle est lesbienne dans l'âme, ne leur en déplaise, même si elle a tenté de s'adapter à une vie hétérosexuelle durant une partie de son passé! N'empêche qu'elle a enduré combien de fois le leitmotiv "retourne avec ton mari", ou pire, "quand on est (naît?) comme toi, on ne fait pas d'enfants!" (sympa pour les gamins...) et cela des années encore après son divorce.

Eh bien ce week-end, ce fut quasi idyllique! Et je sais maintenant que j'ai eu raison d'insister pour que nous les invitions à venir pendant que la situation est encore assez simple. Sur le moment, j'ai craint leur refus et que notre proposition tourne court, ce qui aurait été encore plus douloureux pour Mary, s'ils ne s'étaient même pas déplacés! Ils ont fait un grand pas vers nous et ont passé un bon moment eux aussi. Avec sans doute un pincement au coeur de toutes ses années perdues à se priver de partager des petits bonheurs si simples mais si importants. Et ils ont pu constater que Goudouland n'est pas l'enfer, que j'aime les enfants et qu'ils me le rendent bien. Enfants qui d'ailleurs ont été absolument ravis d'accueillir leurs grands-parents chez nous. Enfin, sauf que Champion a dû partager la chambre de Junior, "éteins la lumière je veux dormir" "fais ch...arrête de ronfler" "je ronfle pas d'abord, et puis tu renifles tout le temps", etc... classique!

Et, ô combien essentiel, nous savons maintenant que nous pourrons compter sur leur soutien dans les épreuves qui nous attendent.

Ah familles, familles, quand comprendrez-vous que nous ne sommes pas des monstres? Faut-il vraiment que vous ayez peur de nous voir mort(e)s pour que vous daigniez nous accepter tels(telles) que nous sommes?

20 avril 2006

Excédent de bagages

Se faire à l'idée... Laisser l'information pénétrer les couches profondes de la conscience.

Accuser le choc. Accepter ce poids sur le coeur, cette tension des entrailles, cette douleur sourde. Faire face.

Reconnaître la présence de cet hôte malsain qui s'est imposé à bord. Il était dans ton corps, tapi, silencieux, oeuvrant sournoisement à son entreprise de destruction; il vient de se frayer un chemin massivement dans nos têtes et tente d'y prendre toute la place. Mieux le cerner pour mieux le combattre.

Se préparer à la suite. Rassembler des indices, comprendre, connaître l'ennemi pour mieux l'éradiquer.

Mettre en oeuvre des énergies enfouies, renforcer le corps, se donner les moyens de la lutte.

Que vienne l'heure de la rage!

Vaincre.

18 avril 2006

Parenthèse...

Non ça n'arrive pas qu'aux autres...

La maladie grave, les traitements lourds, la peur au ventre, la vie qui bascule, non ça n'arrive pas qu'aux autres.

Notre vie et nos projets viennent de basculer. L'avenir maintenant devra tenir compte des prises de rendez-vous, des consultations, du subir et de l'attendre, et des mots qui font peur: hospitalisation, opération, radiations, chimio, médications, réorganisation... Un long congé qui n'est ni vacances, ni congé de maternité. Un temps autre pour laisser plus de place à soi-même aussi, à la méditation et à l'élaboration de la renaissance.

Avec notre amour si fort depuis le début pour faire face et affronter ce nouveau défi de la vie. Accepter ce temps différent et se rappeler qu'à quelque chose malheur est bon. Que rien jamais n'est que mauvais. Qu'on ne peut sortir que grandies d'une telle épreuve. Nous avons toujours beaucoup parlé ensemble, beaucoup échangé, mais aujourd'hui je nous sens encore plus proches.

Qu'il convient d'expliquer aux enfants du mieux possible, chacun en fonction de son âge et de sa sensibilité. Ne pas oublier qu'on pourra rire encore. Et sourire et s'aimer. Et qu'on pourra être bien tous les quatre et que ce n'est pas la fin du bonheur. Même si on a le droit d'être triste et d'avoir peur. Parce que les larmes, ça soulage et ça fait revenir le sourire. Et que l'amour est une force invincible. Et qu'on va en profiter pour s'aimer mieux.

Garder notre foi en la vie: on en a vu d'autres et on y est arrivé, alors cette fois aussi on ne va pas se laisser faire comme ça. On va se battre. On va gagner.

Si je pouvais prendre cette saloperie charge sur mes épaules, je le ferais: mais c'est toi et pas moi, ça m'arrache les tripes et le coeur! Alors je vais t'aimer encore plus fort et te donner tout ce que je peux d'attention et de tendresse pour que tu ne perdes pas courage et que tu le gagnes ce putain de combat!

15 avril 2006

Même si...

Joyeuses

 

Pâques

 

à

 

toutes

 

et

 

tous!

 


13 avril 2006

Bientôt le week-end... un peu de Musik?

Voilà un site
que je consulte
régulièrement!
C'est un petit bijou!

 

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14:35 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

12 avril 2006

Ado et homo (II)

L’adolescence est une période difficile par nature. L’homophobie et l’absence de traitement de la condition homosexuelle durant la scolarité sont des facteurs de risque accru de suicide chez l’adolescent gay...

Le suicide est la seconde cause de décès chez les jeunes de 15 à 24 ans et la première cause pour les 25 - 34 ans. De plus, et selon les études, le taux de suicide (et de tentative) chez les adolescents homosexuels ou bisexuels est entre 6 et 14 fois supérieure à celle de la population hétérosexuelle d’une même classe d’âge. Les raisons principales de ce douloureux constat sont diverses. D’une part, un contexte socio culturel discriminant, une imagerie péjorative de l’homosexualité, propos et actes homophobes. Autant de causes de mal-être et de souffrance des jeunes gays et lesbiennes. D’autre part, l’absence de traitement de la question homosexuelle durant la scolarité, l’hétérocentrisme, le défaut de visibilité d’une communauté adolescente gay et le déni même de son existence n’assurent pas un environnement propre à prévenir suicides, dépressions, comportements à risques, agressions et propos homophobes.


Il ne faut pas confondre homosexualité, pratique homosexuelle et désir homosexuel.

A l’adolescence la transformation pubertaire et la recherche identitaire brouillent les genres. De nombreux jeunes découvrent en même temps que leur corps celui de leurs congénères, la fameuse séance de douche post EPS, et leur sexualité. Les phénomènes de groupe et de " bande " conduisent dans ce contexte à des désirs homosexuels voire des pratiques homosexuelles sans pour autant que l’adolescent soit gay par nature.
Par définition l’adolescence est une période difficile. Elle se traduit par une recherche et une quête identitaire ou l’adulte en devenir cherche autant une identité propre, à s’affirmer individuellement, que désire s’inscrire dans la communauté et appartenir à un groupe, à s’identifier collectivement.
Dans ce schéma, le jeune gay ou la jeune lesbienne, subit cette période avec d’autant plus de difficulté que son homosexualité est une cause supplémentaire d’isolement et de sentiment de rejet. Les études nord américaines ont montré que le premier sentiment d’être Gay intervient souvent dès la pré adolescence et environ 6% des jeunes entre 15 et 18 ans se déclarent attirés par le même sexe à l’exclusion ou non d’une attirance pour le sexe opposé.


La condition de l’adolescent homosexuel reste l’un des derniers tabous de notre société au prix d’un taux de suicide fortement plus élevé, et a fortiori de tentative et de dépression, que celui de la communauté hétérosexuelle.

Ces même études ont démontré que ce fort taux n’est pas dû à l’homosexualité proprement dite de l’adolescent gay mais à l’environnement socio culturel de celui-ci qui le pousse à cette extrémité. En l’absence d’étude française, voire européenne, nous ne disposons pas de statistiques pour notre pays. Craignons qu’elles soient proches.

Nous pouvons faire le constat simple qu’une minorité de jeunes gays et lesbiennes s’assument, se revendiquent et vivent librement leur homosexualité au risque de faire l’objet d’un rejet de leurs camarades, de propos ou actes homophobes ou de se couper de leur milieu familial.
La grande majorité préfère se cacher et adopter une " stratégie de survie " dans un environnement qui ne les reconnaît pas. L’hétérocentrisme flagrant de la population en général, et de la population adolescente, en particulier, amène les jeunes gays à adopter les codes de genre de leurs camarades hétérosexuels qui tiennent des propos ou commettent même des agressions homophobes. De victime, certains préfèrent la condition de bourreau. A quel prix ? Celui de la négation de soi, d’une distorsion entre son identité propre et une identité exprimée, causes de mal être.
Pour les autres, ils sont l’objet de moqueries ou d’un rejet de leurs camarades sur de simples constations de différenciation (look, comportement dit "efféminé" pour les jeunes gays et de "garçon manqué" pour les jeunes lesbiennes), bien que pour beaucoup il ne s’agisse que de brimades sans incidences.
Les adolescents, pas plus que les adultes, ne mesurent les conséquences néfastes de telles attitudes sur des individus fragilisés ou marginalisés. Les jeunes hétérosexuels ne prennent pas la défense de leurs camarades faisant l’objet de telles brimades de peur d’être catalogués eux-mêmes Gays et de faire l’objet à leur tour d’une exclusion du groupe. Les intéressés, à défaut d’interlocuteurs à même de les écouter, n’osent pas se plaindre d’un tel traitement de peur de se dévoiler.


Ce tableau vous paraît bien noir ?
Pourtant, c’est celui auquel est confrontée quotidiennement et de manière solitaire la majorité des adolescents homosexuels et qui les conduit jusqu’au suicide. Néanmoins, des comportements prédéterminants et des signes permettent de détecter et de prévenir les troubles de l’adolescent gay : échec scolaire, forte consommation d’alcool ou de tabac, prise de drogues ou de médicaments, crises maniaco-dépressives. Mais n’est-ce pas déjà faire le constat de l’échec de notre société à assurer un traitement raisonné de l’homosexualité des adolescents comme fait social ?

Aussi, la cause de la souffrance des adolescents gays, soit l’environnement socio-culturel dans lequel ils évoluent, peut devenir l’élément même de leur épanouissement et de l’admission de leur homosexualité. Il est désormais temps que le système scolaire, lieu de vie et d’apprentissage de la jeunesse par excellence, ouvre les yeux. 80% de taux de réussite au Bac. A la bonne heure! Quand un pourcentage significatif de la population adolescente est en état de souffrance il importe d’avantage de les assister et les aider que d’en faire des bacheliers dépressifs ou suicidaires. N’est-ce pas le rôle même de l’enseignement laïc et républicain que de former des êtres autonomes et accomplis ? L’accès à la citoyenneté, voeu pieu de l’enseignement, et l’éducation de nos adultes en devenir pourraient s’enorgueillir d’un traitement de la condition homosexuelle propre à garantir nos libertés publiques et soucieux du respect des libertés individuelles de chacun.


A notre époque, l’homosexualité est le dernier sujet tabou à l’école.

L’éducation sexuelle n’est envisagée que sous l’angle reproductif, j’oserais dire technique ou de sa maîtrise, la contraception. Ou alors, la sexualité est abordée sous un angle négatif, celui des MST. De plus, et en l’absence d’un traitement médiatique, culturel, littéraire voire même musical de l’homosexualité durant l’adolescence, les jeunes gays et lesbiennes ne trouvent aucun élément commun d’identification nécessaire à leur sentiment d’appartenance à un groupe ou même propre à leur montrer qu’ils ne sont pas seuls, brisant ainsi le sentiment de solitude qui les animent. L’imagerie traditionnelle adolescente (feuilletons, émission real TV, BD, films d’action) ne montre souvent qu’une image unique et stéréotypée, celle d’une adolescence exclusivement hétérosexuelle, même virilisante et machiste.


Il appartient à l’éducation nationale d’entretenir une image réelle de l’homosexualité, non prosélyte, en traitant objectivement le fait homosexuel et en l’insérant dans les programmes (cours d’éducation aux sexualités, approche historique de la question gay, approche de l’homosexualité sous l’angle des libertés publiques au même titre que le racisme, la xénophobie) et en sanctionnant les propos et actes homophobes au sein des établissements.
L’éducation nationale devra, outre une formation et une sensibilisation de son personnel à ces questions, vaincre ses propres réticences quand on sait que beaucoup d’enseignants gays se cachent de peur de perdre leur crédibilité, et au-delà leur autorité, face aux élèves ou d’être invectivés par les parents d’élève ou l’administration.


L’assistance individuelle de l’adolescent homosexuel doit aussi être renforcée.

Quand celui-ci a peur de se confier à ses parents ou un camarade il doit pouvoir trouver un endroit propre à le sécuriser et à l’écouter. La prise en charge individuelle de la détresse d’un jeune gay est une priorité absolue mais le manque de moyen du personnel social au sein des établissements scolaire est criant. Psychologues scolaires, assistantes sociales, infirmières scolaires font défaut. Pourtant ils sont souvent les premiers témoins de confidences et les plus à même à détecter un malaise latent qui peut dégénérer en drame suicidaire.

Enfin, il est regrettable de constater qu’un écart s’opère entre la condition des jeunes gays et lesbiennes et celle de leurs aînés. Ces derniers ont su s’organiser, se réunir, se rassembler pour faire avancer leur condition alors que les plus jeunes d’entre eux voient encore leur existence niée et leur condition laissée à l’abandon. La société n’a t-elle pas pour devoir de reconnaître et de porter assistance à une partie de sa jeunesse ? A défaut c’est son avenir même qu’elle compromet.

Source: Homoedu

11 avril 2006

Alors, vous deux, comment est-ce arrivé?

Eh bien, un peu comme ça... musique, maestro!

Elle avait des bagues à deux de ses doigts,
Pas de bracelet autour des poignets,
Et puis elle parlait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla.

On s'est connues, on s'est reconnues,
On s'est perdues de vue, on s'est r'perdues d'vue
On s'est retrouvées, on s'est réchauffées,
Puis on s'est plus quittées.


Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale.

On s'est connues, on s'est reconnues,
On s'est perdues de vue, on s'est r'perdues d'vue
On s'est retrouvées, on s'est réchauffées,
Puis on s'est plus quittées.


Chacune pour deux s'est investie
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, hàie, hàie, hàie
Ça fait déjà un fameux bail

On s'est connues, on s'est reconnues,
On s'est perdues de vue, on s'est r'perdues d'vue
On s'est retrouvées, on s'est réchauffées,
Puis on s'est plus quittées.


Au son des guitares je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent à tout jamais.

On s'est connues, on s'est reconnues,
On s'est perdues de vue, on s'est r'perdues d'vue
On s'est retrouvées, on s'est réchauffées,
Puis on s'est plus quittées.


Et ca fait six ans, qu'on s'aime tant et tant,
Et notre famille, avec ses enfants,
Si beaux et si grands, quoiqu'en disent les gens
Ne choque pas les passants!


Vous ne direz plus que vous ne le saviez pas!

"Celles et ceux-là se sont toutes officiellement déclarés", annonce le site COMING-OUT .

Pas tout-à-fait exact, certains ont été outés et ça, c'est pô beau!

Regardez surtout QUI ils sont: réalisateurs/trices, actrices/teurs, politiciens/ciennes, écrivaines/vains, savantes/savants, musiciennes/ciens, artistes de tout poil, comiques, journalistes, PDG (là que des mecs... sans commentaire, sinon je vais être désagréable, je le sens), sportifs/sportives, et tant d'autres!

Oui nous sommes partout (arrêtez de flipper, m'enfin!).

Non, nous ne sommes pas haïssables (pas plus que les hétéros, et pas moins que certains d'entre eux).

C'est ainsi que va le monde: il est fait de diversité sexuelle, ce qui n'empêche en aucun cas notre humanité!

Et c'est ce qui compte!

16:25 Publié dans Célèbres | Lien permanent | Commentaires (3)

De quoi s'inquiètent-ils?

Je n'ai pas l'habitude de vous la jouer magazine people, mais là tout de même....

La justice autorise l'évocation de l'homosexualité de S. Bern ou M.-O Fogiel

"Le TGI a autorisé l'évocation de l'homosexualité de Stéphane Bern et Marc-Olivier Fogiel, rejetant leurs demandes visant à faire condamner le magazine L’Expansion pour un article sur les réseaux d'influence gay où ils étaient cités."

C'est quoi ce cirque? De toute façon tout le monde le savait !
Reste de l'article sur E-llico

12:50 Publié dans Frivolidad | Lien permanent | Commentaires (2)

Chauds les Espagnols!

Un élu de droite se marie avec son mec!

J'adoooore ce genre d'infos! Ca me fait imaginer la même situation ici chez nous et alors là, je biiiiche!

Bon alors, quand est-ce qu'on la vote cette loi? Il paraît que la société française n'est pas prête?! Ba-li-ver-nes!!!

Il n'y a qu'à voir les réactions en Espagne: cf. les liens sur Cette page d' E-llico. N'empêche que la loi y existe bel et bien et qu'à force les mentalités vont suivre! Tout ça me rappelle le tapage qui entourait la loi sur l'interruption de grossesse! Vous verrez, on va les gagner nos droits!

12:25 Publié dans Le mariage | Lien permanent | Commentaires (1)

10 avril 2006

And the winner is...

Tout d'abord la réponse

Vous hésitez encore? S'agissait-il de Pascal Sevran, de Frédéric Mitterrand, d' Henri Salvador, d' Henri Chapier ou de Henri de Portzamparc? Vous noterez l'immmmense proportion d' "Henri" dans les réponses proposées!
Il s'agissait bien d'un Henri! Et c'était de Portzamparc qu'il fallait trouver!
"Assis-pas-bouger, témoignage d'un homo catho aristo, par Henri etc..." C'est lui!
Cf. les preuves et la doc et les photos sur
http://www.crmultimedia.com/de-portzamparc

Et nous avons une gagnante !

L-Wordienne dans l'âme, - gare à celles et ceux qui écrivent encore L-World, meuh non! il ne s'agit pas d'un monde où il n'y aurait plus que des lesbiennes, m'enfin! - elle parle L-Word couramment, je dirais même plus, Patricia n'aime pas L-Word, elle l'adore, elle y excelle, c'est LA spécialiste es L-Word! Allez faire un tour à la fac F.A.Q., je suis sûre qu'il y a encore plein de trucs que vous ne savez pas et qu'elle va vous apprendre dans son immense bonté. Pas tout non plus, le maître reste le maître, et puis Goggle-Eye, c'est pas pour des prunes!
A part ça, me direz-vous, sait-elle faire autre chose? Et bien oui Patricia-M est une lesbienne riche de ses nombreux centres d'intérêt!
Par exemple, elle aime aller au cinéma ou au musée d'art contemporain, elle aime quand les filles peignent des chefs d'oeuvre avec leur corps sur la toile, elle aime la musique, elle adore ses héros de la vraie vie, j'ai nommé sa compagne Sacha, et leur petit garçon et leur petite fille Jazz et Prunelle,- ah ben tant pis pour vous elle a déjà trouvé chaussure Sacha à son pied coeur, ben oui quoi, zaviez qu'à arriver plus tôt aussi! - d'ailleurs, elle fait très bien la différence entre bonne et mauvaise éducation! Elle aime observer ses contemporains, quitte à leur tailler une veste, elle n'aime pas qu'on la prenne pour une conne non plus. Qu'elle n'est pas d'abord! Il lui arrive même d'être philosophe! Fan de Zazon, elle aime bien rigoler aussi.

Du reste, vous savez lire et vous avez plus de 18 ans? Et bien c'est par là, Patricia-M !
Et nulle part ailleurs!

23:35 Publié dans Frivolidad | Lien permanent | Commentaires (3)

Indices supplémentaires

C'est si difficile que ça ?

Pourtant la photo fait la couverture d'un livre qui fut très médiatisé à sa sortie!

Notre personnage fut l'invité de "Ca se discute" il y a un peu plus d'un an (premier trimestre 2005)...

Jeu-concours jusqu'à minuit!

14:25 Publié dans Frivolidad | Lien permanent | Commentaires (1)